Foxfire, confessions d'un gang de filles,
vendredi 29 mars 2013
jeudi 28 mars 2013
La chasse aux oeufs de Pâques,
Dimanche 31 de 11h00 à 12h00 si la météo le permet rendez - vous aux floralies et si la pluie est malheureusement là, rendez - vous à la salle des fêtes.
Pour la chasse aux œufs !
Grand Paris Express
* île de France
Paris, le 27 mars 2013
COMMUNIQUE DE PRESSE
Grand Paris Express : Valérie Pécresse demande un plan
de financement crédible pour garantir sa réalisation
Lors de la commission des finances qui s’est tenue aujourd’hui sur le thème du financement du Nouveau Grand Paris, les élus du groupe Mouvement Populaire ont fait part à
Jean-Paul Huchon de leur grande inquiétude quant au plan de financement présenté par le Premier ministre qui hypothèque la réalisation du Grand Paris Express.
Alors que le coût du nouveau réseau est passé de 20,5 à 24,575 milliards d’euros, les mesures proposées par Jean-Marc Ayrault conduisent en réalité à réduire le montant des financements initialement prévus pour la réalisation du projet.
Comment le Gouvernement compte s’y prendre pour financer un projet plus cher avec moins d’argent, telle a été la question posée par les élus du groupe Mouvement Populaire et à laquelle Jean-Paul Huchon a été incapable de répondre clairement.
L’analyse des 5 « nouvelles mesures » proposées par Jean-Marc Ayrault le 6 mars dernier montre que le compte n’y est pas.
Certes, le gouvernement propose d’attribuer une part plus importante de la taxe sur les bureaux (TSB) mais cette nouvelle ressource ne permettra pas de faire face au surcoût du projet, pas plus que le doublement des amendes de circulation qui pèsera lourdement sur les Franciliens. Dans le même temps, le Gouvernement renonce à affecter à la SGP la dotation de 4 milliards d’euros initialement prévue et décide de ponctionner la SGP de 2 milliards d’euros d’ici à 2017.
Au final, d’ici à 2020, c’est près de 5 milliards qui vont manquer à l’appel par rapport au plan de financement initial du précédent gouvernement.
C’est pourquoi Valérie Pécresse et les élus du groupe Mouvement Populaire demandent à Jean-Marc Ayrault de présenter un plan de financement crédible, doté d’un échéancier précis, afin de garantir la réalisation totale du Grand Paris Express. Ce constat a d’ailleurs été partagé par Jean-Paul Huchon qui a reconnu la nécessité d’une feuille de route financière plus détaillée.
Valérie Pécresse rappelle que le 22 février dernier, elle a adressé, avec 49 parlementaires franciliens, au Premier ministre un appel proposant des solutions innovantes pour financer l’intégralité du Grand Paris dans sa version initiale : allongement de la durée d’amortissement des prêts, mobilisation de l’épargne réglementée et des ressources issues de l’augmentation programmée de la TVA sur les transports franciliens, cession de certaines participations non stratégiques de l’Etat dans des entreprises cotées.
| |
Conseil régional d’Ile-de-France
Groupe Mouvement Populaire
|
mardi 12 mars 2013
Information,
Centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine / Un exercice de sûreté nucléaire. Le 09 avril 2013.
Cet exercice, à dominante sûreté nucléaire et sécurité
civile, a pour objectif de tester le dispositif d'alerte et l'organisation de
crise qui seraient déployés par les pouvoirs publics et EDF afin d'assurer la
protection de la population dans l'hypothèse d'un accident nucléaire.
La centrale de Nogent-sur-Seine simulera, à partir d'un
scénario fictif non connu des participants, un accident technique qui
nécessitera la mise en oeuvre des dispositions prévues par son Plan d'Urgence
Interne (PUI). L'exercice permettra de tester la chaîne de décisions des
pouvoirs publics dans le cadre d'un déclenchement fictif par le Préfet de
l'Aube du Plan Particulier d'Intervention (P.P.I.).
Joué en météo fictive, il conduira le Préfet à tester la
mise en oeuvre d'un certain nombre de dispositions prévues par le PPI : . les
relevés de mesures de radioactivité dans l'environnement par des équipes
spécialisées. les barrages routiers filtrants par les services de gendarmerie
de Nogent-sur-Seine . la mise à l'abri des habitants de Marnay-sur-Seine et des
élèves de Nogent-sur-Seine. etc.
L'exercice mobilisera les personnels d'astreinte de la
centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine, les appuis techniques d'EDF au niveau
national, et les circuits d'expertise, de contrôle et de décision des pouvoirs
publics, ainsi que les différents services opérationnels de l'Etat (Gendarmerie
Nationale, S.D.I.S., SAMU, DASEN, DDT, DDCSPP, ARS, Conseil Général de l'Aube,
Procureur de la République, Mairies) et autorités indépendantes (IRSN, CEA,
ASN).
Les élus locaux seront étroitement
associés au déroulement de l'exercice, exercice dont la vocation est aussi
d'améliorer encore l'information des populations. Cette simulation s'inscrit
dans le cadre du programme national d'exercices élaboré par les pouvoirs
publics et EDF pour l'ensemble des centrales du parc nucléaire français.
mercredi 6 mars 2013
Le Grand Paris s’est trouvé de nouvelles frontières,
Source Le Parisien
Jean-Marc Ayrault présentera demain le projet de loi sur la métropole qui regroupera 90% des habitants de la région.
Christel Brigaudeau | Publié le 05.03.2013,
Quelles sont les frontières du Grand Paris? Voilà des mois que la question met en ébullition les élus d’Ile-de-France. Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, y répondra demain après-midi, à Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne), en présentant son projet de loi sur la « métropole de Paris ».
Derrière ce terme se cache une naissance : celle d’une nouvelle collectivité qui sera chargée de superviser la construction de logements, sur le périmètre desservi par le futur supermétro initié sous la présidence de Nicolas Sarkozy.
Derrière ce terme se cache une naissance : celle d’une nouvelle collectivité qui sera chargée de superviser la construction de logements, sur le périmètre desservi par le futur supermétro initié sous la présidence de Nicolas Sarkozy.
Un enjeu crucial : alors que la loi sur le Grand Paris de 2010 fixe un objectif de 70000 nouveaux logements par an, il n’en sort de terre actuellement que 40000 en Ile-de-France.
Des élus mécontents
Selon les éléments du projet, révélés hier par « le Monde », la vision portée par le maire de Paris (PS), Bertrand Delanoë, semble l’emporter sur celle du président de la région, lui aussi socialiste, Jean-Paul Huchon. La métropole regrouperait Paris et sa zone dense, soit 90% de la population francilienne, en laissant dehors une partie de la grande couronne.
« On risque un développement à deux vitesses. Ce serait terrible, en termes de signal politique, de laisser tomber les zones périurbaines », s’inquiète Guillaume Balas, porte-parole du groupe PS à la région et proche de Jean-Paul Huchon. Dans son entourage, on espérait encore, hier, pouvoir négocier quelques éléments du projet de loi, avant sa mise en discussion au Sénat et à l’Assemblée nationale.
D’après le texte, le « conseil de la métropole » devrait réunir, à l’horizon 2016, le maire de Paris et les présidents de grandes intercommunalités, représentant chacune 300000 habitants du bassin parisien. A cette instance s’ajouterait une « conférence métropolitaine », à laquelle participeraient les présidents de la région et des huit départements d’Ile-de-France.
« Ce seront des poupées russes, qui vont permettre d’emboîter les points de vue », décrypte Pierre Mansat, adjoint (PC) au maire de Paris en charge du sujet. Philippe Dallier, sénateur UMP de Seine-Saint-Denis et auteur d’un rapport sur le Grand Paris, est plus sévère. « On rajoute une couche au millefeuille des institutions, alors qu’il y a de moins en moins d’argent public, estime-t-il. C’est absurde, les citoyens ne s’y retrouveront pas. »
Des élus mécontents
Selon les éléments du projet, révélés hier par « le Monde », la vision portée par le maire de Paris (PS), Bertrand Delanoë, semble l’emporter sur celle du président de la région, lui aussi socialiste, Jean-Paul Huchon. La métropole regrouperait Paris et sa zone dense, soit 90% de la population francilienne, en laissant dehors une partie de la grande couronne.
« On risque un développement à deux vitesses. Ce serait terrible, en termes de signal politique, de laisser tomber les zones périurbaines », s’inquiète Guillaume Balas, porte-parole du groupe PS à la région et proche de Jean-Paul Huchon. Dans son entourage, on espérait encore, hier, pouvoir négocier quelques éléments du projet de loi, avant sa mise en discussion au Sénat et à l’Assemblée nationale.
D’après le texte, le « conseil de la métropole » devrait réunir, à l’horizon 2016, le maire de Paris et les présidents de grandes intercommunalités, représentant chacune 300000 habitants du bassin parisien. A cette instance s’ajouterait une « conférence métropolitaine », à laquelle participeraient les présidents de la région et des huit départements d’Ile-de-France.
« Ce seront des poupées russes, qui vont permettre d’emboîter les points de vue », décrypte Pierre Mansat, adjoint (PC) au maire de Paris en charge du sujet. Philippe Dallier, sénateur UMP de Seine-Saint-Denis et auteur d’un rapport sur le Grand Paris, est plus sévère. « On rajoute une couche au millefeuille des institutions, alors qu’il y a de moins en moins d’argent public, estime-t-il. C’est absurde, les citoyens ne s’y retrouveront pas. »
Inscription à :
Articles (Atom)